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Hommage à nos compagnons disparus, c'est le thème que nous propose ZAPI, pour le mois d'août dans sa Communauté J'AIME LES CHATS.
Hommage à Elysée, mon Ange Blanc, ma petite Merveille, ma Perle Rare...
Elle m'a été arrachée le 19 novembre 2011, elle avait deux ans...
A lire :
Ici, ici, ici, ici, ici et là.
Rose des Chats du Maquis avait
organisé une Marche Blanche virtuelle, ici, merci ma chère Rose...
Et ici, un bel hommage de Béa...
Et des poèmes de :
Nous ne le savions pas ...
Elysée était un ange,
Un ange tombé du ciel,
Un ange blanc, un ange-chat.
Un ange qui avait choisi de vivre,
Justement chez Mamounette.
Dans une robe immaculée,
Elysée apporta douceur et tendresse.
Ce temps fut, oh combien, trop court.
Elysée est repartie chez les anges.
La "blogosphère féline" est en deuil,
Nous pleurons cette absence cruelle.
Maintenant pour Mamounette,
C'est un ange-chat qui veille sur elle !
Et nous, nous n'oublierons pas,Cette délicieuse petite chatte blanche au doux nom d'Elysée.
J'ai pas bien compris, moi Erilyn,
Ce message de ma demi-soeur Elysée,
Mais j'ai promis de faire de mon mieux.
Je ne sais pas si je serai assez grande,
Alors Mamounette, il faudra m'aider !
On a failli se perdre, alors on va encore plus s'aimer !
Et aimer pour deux, avec toi Mamounette, sûr que je vais y arriver !
Signé Erilyn
Et de Sophie, aussi :
"Comme un nuage tout blanc
Tel un flocon de neige si léger
Comme une plume sur les ailes du vent,
elle vogue, s'envole petite Elysée
Aussi belle qu'une aurore
Assise sur un coin du ciel
ses yeux envoient des éclats d'or
pour illuminer l'arc en ciel
Le fil du temps tissé d'amour
qui enserre Mamounette et Elysée
coeur à coeur, proches pour toujours
non, jamais, ne pourra se briser."
Merci Chère CHATS DES ILES, merci SOPHIE !!!
Elysée est à gauche, Erilyn à droite.
Elles ne se quittaient pas...
"On dit souvent que le temps guérit toutes les blessures. Je ne suis pas d'accord. Les blessures demeurent intactes. Avec le temps, notre esprit, afin de mieux se protéger, recouvre ces blessures de bandages et la douleur diminue, mais elles ne disparaissent jamais..."
Rose KENNEDY
1890 - 1995
Création de UPPSALA
Merci ma chère Simone, si belle cette création !!!
Merci, merci infiniment à TOUS pour votre soutien !!!
Bon dimanche à tous !
5 commentaires -
Chez ma petite Chérie !!!
Une belle maison, un grand jardin,
Le potager et la serre,
Edène
et Fripouille
des poules, des canards,
un petit coin de Paradis !!!
Et j'ai ramené des fruits, des légumes et des oeufs,
hum que de bons petits plats en perspective !!!
Bon dimanche à tous !
2 commentaires -
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Voilà un roman que j'ai eu un mal fou à ne pas lire d'une traite. Il ne s'agit pourtant pas d'un thriller, mais d'une histoire familiale presque banale. Suzanne, soixante dix ans, vient de mourir. Ses dernières heures sont racontées par l'une de ses filles, Gabrielle. Puis, nous remontons le temps pour faire la connaissance de la défunte. Avant qu'elle ne devienne une épouse puis très vite une mère, Suzanne a vécu une enfance tourmentée. Enfant non désirée d'une « fille-mère », elle a été recueillie par sa grand-mère et sa tante, auprès desquelles elle a vécu une petite enfance dorée. Mais hélas, cela n'a duré qu'un temps, elle a dû partir vivre chez sa mère. Les années qui ont suivi ont été pour Suzanne et son petit frère, né lui aussi « par erreur », un véritable cauchemar.
J'ai beaucoup de tendresse et de compassion pour Suzanne, malheureuse dans son couple et pourtant incapable de quitter un mari volage, tyrannique et égoïste. Elle était si fière d'avoir fondé une famille, contrairement à sa mère qui cumulait les amants et délaissait ses enfants, qu'elle ne peut mettre une croix sur cet idéal et partir vers l'inconnu avec ses deux filles. le manque de confiance en elle, entretenu par son mari, la tétanise. Alors elle courbe le dos et vit par procuration, s'accrochant à ses filles en tentant de leur apporter toute la tendresse et la stabilité qu'elle n'a pas eues. Je dois aussi évoquer l'amour des filles pour leur mère, leur tristesse face à son sort peu enviable. On sent dans le récit de Gabrielle toute la tendresse qu'elle ressent pour sa mère et la tristesse face à sa disparition.
Fabienne fait ici une analyse très fine de ces femmes qui ne quittent pas le foyer, en dépit de souffrances endurées pendant de longues années. C'est une histoire qui m'a remuée et particulièrement touchée. Suzanne est un personnage que je n'oublierai pas de si tôt...Bon week-end à tous !
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