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Par Mamounette.OB le 2 Mars 2013 à 09:54
J'ai touché le fond de la piscine
Dans le petit pull marine,
Tout déchiré aux coudes
Qu'j'ai pas voulu recoudre,
Que tu m'avais donné.
J'me sens tellement abandonnée.
Y a pas qu'au fond de la piscine
Que mes yeux sont bleu marine.
Tu les avais repérés
Sans qu'il y ait un regard
Et t'avais rappliqué.
Maintenant, je paie l'effet retard.
Avant de toucher le fond,
Je descends à reculons,
Sans trop savoir ce qui se passait dans le fond.
C'est plein de chlore au fond de la piscine.
J'ai bu la tasse, tchin tchin.
Comme c'est pour toi, je m'en fous.
Je suis vraiment prête à tout.
Avaler, que m'importe,
Si on me retrouve à moitié morte.Noyée au fond de la piscine,
Personne ne te voyait
Sous mon petit pull marine,
M'enlacer, j't'embrassais
Jusqu'au point de non-retour,
Plutôt limite de notre amour.
Avant de toucher le fond,
Je descends à reculons,
Sans trop savoir ce qui se passait dans le fond.
Viens vite au fond de la piscine
Repêcher ta petite sardine,
L'empêcher de se noyer,
Au fond de toi, la garder,
Petite sœur traqueuse,
De l'air de ton air amoureuse.
Si nous deux, c'est au fond dans la piscine,
La deux des magazines
Se chargera de notre cas
Et je n'aurai plus qu'à
Mettre des verres fumés
Pour montrer tout ce que je veux cacher.
Retrouve-moi au fond d'la piscine
Avant qu'ça m'assassine
De continuer sans toi.
Tu peux compter sur moi :
J'te referai plus l'plan d'la star
Qui a toujours ses coups de cafard.
J'ai touché le fond de la piscine
Dans ton petit pull marine...
4 commentaires -
Par Mamounette.OB le 6 Février 2013 à 15:30
Tous mes amis sont partis
Mon cœur a déménagé
Mes vacances c´est toujours Paris
Mes projets c´est continuer
Mes amours c´est inventer
Si, maman, si
Si, maman, si
Maman, si tu voyais ma vie
Je pleure comme je ris
Si, maman, si
Mais mon avenir reste gris
Et mon cœur aussi
Et le temps défile comme un train
Et moi je suis à la fenêtre
Je suis si peu habile que demain
Le bonheur passera peut-être
Sans que je sache le reconnaître
Si, maman, si
Si, maman, si
Maman, si tu voyais ma vie
Je pleure comme je ris
Si, maman, si
Mais mon avenir reste gris
Et mon cœur aussi
Mon cœur est confortable, bien au chaud
Et je lasse passer le vent
Mes envies s´éteignent, je leur tourne le dos
Et je m´endors doucement
Sans chaos ni sentiment
Si, maman, si
Si, maman, si
Maman, si tu voyais ma vie
Je pleure comme je ris
Si, maman, si
Mais mon avenir reste gris
Et mon cœur aussi
Si, maman, si
Si, maman, si
Maman, si tu voyais ma vie
Je pleure comme je ris
Si, maman, si
Mais mon avenir reste gris
Et mon cœur aussiCette chanson m'émeut au plus haut point...
Elle, elle est d'une grande "beauté", elle est "d'ailleurs", c'est une surdouée...Et la vie l'a malmenée et la malmène encore...
Mais elle se bat, elle résiste...
elle est très forte...
Et...Elle va réussir, oui...Elle réussira à s'imposer !!!
Bel après-midi à tous !
5 commentaires -
Par Mamounette.OB le 13 Janvier 2013 à 14:55
Elle met du vieux pain sur son balcon
Pour attirer les moineaux, les pigeons
Elle vit sa vie par procuration
Devant son poste de télévision
Levée sans réveil
Avec le soleil
Sans bruit, sans angoisse
La journée se passe
Repasser, poussière
Y'a toujours à faire
Repas solitaires
En points de repère
La maison si nette
Qu'elle en est suspecte
Comme tous ces endroits
Où l'on ne vit pas
Les êtres ont cédé
Perdu la bagarre
Les choses ont gagné
C'est leur territoire
Le temps qui nous casse
Ne la change pas
Les vivants se fanent
Mais les ombres, pas
Tout va, tout fonctionne
Sans but, sans pourquoi
D'hiver en automne
Ni fièvre, ni froid
Elle met du vieux pain sur son balcon
Pour attirer les moineaux, les pigeons
Elle vit sa vie par procuration
Devant son poste de télévision
Elle apprend dans la presse à scandale
La vie des autres qui s'étale
Mais finalement, de moins pire en banal
Elle finira par trouver ça normal
Elle met du vieux pain sur son balcon
Pour attirer les moineaux, les pigeons
Des crèmes et des bains
Qui font la peau douce
Mais ça fait bien loin
Que personne ne la touche
Des mois, des années
Sans personne à aimer
Et jour après jour
L'oubli de l'amour
Ses rêves et désirs
Si sages et possibles
Sans cri, sans délire
Sans inadmissible
Sur dix ou vingt pages
De photos banales
Bilan sans mystère
D'années sans lumièreBon dimanche à tous !!!
2 commentaires -
Par Mamounette.OB le 19 Décembre 2012 à 20:53
Ses parents, ses amis
Ces femmes qu'on affectionne
Avec lesquels on dort, on dîne
On parle au téléphone
Souvent, quand nos regards se croisent
Y a comme une chaleur
Mais de là à en faire des phrases
Trop de pudeur, trop de pudeur
{Refrain:}
On ne dit jamais assez
Aux gens qu'on aime
Par peur de les gêner
Qu'on les aime
On leur dit jamais assez
Que sans eux, sans elles
On serait même pas la moitié
De nous-mêmes
Avant de nous dire au revoir
De marcher à l'ombre
Avant que sur notre histoire
Le rideau tombe
J' veux déclarer à tout ce petit monde
Qui m'entoure
La vie, la vie serait d'un sombre
Sans vous autour, vous tous autour
{au Refrain}
Qu'y a-t-il de plus important
La raison ou les sentiments ?
On ne dit jamais assez
Aux gens qu'on aime
On leur dit jamais assez
Qu'on les aime
Je vous aime !Je chéris les personnes que j'aime parce-que j'ai vécu la perte...
Une belle leçon de vie...
Merci ma chère UPPSALA !!!
Belle soirée à tous !
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