•  

    "Permettez-moi, en tant que prêtre et théologien, d'apporter une précision : il n'est pas permis pour un Chrétien fidèle aux Saintes Ecritures de céder à cette fausse tradition et de consommer de l'agneau pascal pour Pâques car depuis le sacrifice du Christ à la Croix, il est devenu le seul Agneau véritable et a donc, de fait, abrogé tous les sacrifices animaliers. Cette "tradition" n'a donc rien de chrétien, elle est là pour justifier les bassesses et les cruauté du ventre, elle relève bien au contraire d'une grave désobéissance aux lois divines de la Nouvelle Alliance énoncée par le Christ...j'ajouterai enfin, qu'il est du devoir de chaque Chrétien d'être végétarien et de ne contribuer en aucune manière possible à la souffrance animale..."

     

     

    COMMENTAIRE DU RÉVÉREND EMMANUEL BRIGLIA-AUDIBERT


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  • Rappelez-vous que, lorsque vous quitterez cette terre,

    vous n'emporterez rien de ce que vous avez reçu - uniquement ce que vous avez donné.

    Saint François d'Assise

     

    Singulière moralité que celle-ci : nous ne laisserons sur cette terre que ce que nous avons accompli par amour. En d'autres termes, les seuls biens qui vaillent sont ceux que l'on ne saurait posséder puisqu'ils se confondent avec ce que les Anciens appelaient le souverain bien pour désigner "l'harmonie de l'âme" (Sénèque) ou "la volonté de bien agir" (Kant). Nous devrions nous inspirer de ces âmes bienveillantes et généreuses pour qui le don, et mieux encore le don de soi, produisent la fructification du bien et la surabondance des bienfaits partagés et transmis.

    La pensée revigorante du jour

    Rappelez-vous...


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  • L'Homme pauvre n'est pas celui qui n'a rien, c'est celui qui envie.

    Sénèque

     

    Marc Aurèle rappelait que "ce n'est pas la pauvreté qui nous afflige, mais le désir de richesse". Envie, jalousie, convoitise sont ces ennemis sournois tapis dans notre subconscient et qui nous empêche d'avoir des relations saines avec les autres, débarrassées de toutes les brumes de l'égarement. C'est la comparaison qui sépare les hommes, car la psychologie humaine est ainsi faite qu'il est difficile de se réjouir d'un privilège auquel on n'a pas soi-même accès. L'envie est assurément le plus sombre des tracas car "tout manque a celui à qui tout fait envie". Fuyons la convoitise qui nous entraine dans les souterrains obscurs du subconscient. Au contraire, effleurons le désir, le bien-heureux appétit de vivre qui nous enlève et nous élève à tire d'aile vers des rêves altiers et lumineux.

    La Pensée Revigorante du Jour

    L'homme pauvre...

     


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  • T

    Le chat justifie des sympathies par ses qualités.

    La beauté d'abord. Tout est symétrique en lui ; aucune partie du corps n'est trop grande ou trop petite. Rien d'anguleux dans ses formes ; partout, au contraire, d'harmonieuses courbures. Sa tête surtout a des lignes gracieuses, et nul animal ne l'a aussi belle. Observez-la. Vous admirerez ses grands yeux, escarboucles ou émeraudes vivantes, tantôt noyés de mélancolie, tantôt avivés d'une attention soudaine ; ses oreilles pointues ; son visage bien découpé et mince dans le bas, son petit nez frais ; sa bouche si fine qu'on ne l'a jamais appelée gueule, sa langue rose visible seulement dans il bâille ou quand il lustre son pelage.

    Il est agréable dans toutes ses attitudes . Assis, les quatre pieds rapprochés et la queue enroulée autour, il est l'image idéale du repos et de la calme méditation ; les yeux mi-clos, il semble poursuivre quelque profonde songerie.

     

    Henri LAUTARD

    Zoophilie ou Sympathie envers les animaux

     

    Beauté parfaite


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  • Ce n'est pas l'absence de pleurs, mais le sourire né des pleurs."

    Dom Augustin Guillerand

     

     

    Le théâtre de notre vie est fréquenté par des couples étranges, très unis malgré leurs différences : la joie et la souffrance, la crainte et l'espérance, le bien et le mal...

    Certaines circonstances nous permettent de mieux saisir le sens de leur paradoxal attachement mutuel : si les abîmes du mal n'existaient pas, l'homme déploierait-il la même vigueur pour conquérir les sommets du bien ? Si la crainte ne tempérait pas l'espérance, n'aurait-on pas la fâcheuse tendance à dégrader cette dernière en la transformant en suffisance ? Et comment pourrait-on apprécier la pleine saveur de la joie, sil la tristesse ou la souffrance ne nous en faisaient pas sentir le désir, l'attente, la réalité précieuse, fragmentaire et tellement fragile ?

    Le sourire né des pleurs, la joie au-delà de la souffrance, c'est l'himalaya de nos joies sur terre, la plus haute altitude accessible à nos sentiments, l'air le plus pur que nous puissions respirer. Parc-qu'il s'agit d'une joie conquise, d'une joie de conversion, d'une trouée de lumière dans les ténèbres profondes et qui annonce une nouvelle clarté dans notre vie.

     

    Bon dimanche à tous !


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