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En créant les hommes, Dieu a promis aux femmes qu'il y aurait des hommes intelligents et gentils dans tous les coins du monde,
mais il fit la terre...ronde !!!
Bon dimanche à tous !
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Le 11 Novembre ne sera plus seulement le jour-hommage aux poilus de 14-18, mais le jour-mémoire de tous les '' soldats morts pour la France
L’Angleterre a choisi les coquelicots, la Belgique les marguerites et la France les bleuets comme symbole des morts tombés lors des combats. Suzanne Lenhardt, infirmière et Charlotte Malterre touchées par les souffrances des blessés de la Première Guerre mondiale décidèrent de les aider. Les fleurs de bleuet confectionnées en tissu étaient fabriquées par les mutilés soignés à l’hôpital, ce qui leur permettaient de gagner un peu d’argent. Ces bleuets commémoratifs, d’abord en tissus puis en papier et enfin autocollants, ont longtemps été distribués pour commémorer l’armistice du 11 novembre 1918.
Les femmes aussi ont payé leur tribu à cette guerre
LouiseMais qui a soulagé sa peine
Porté son bois porté les seaux
Offert une écharpe de laine
Le jour de la foire aux chevaux
Et qui a pris soin de son âme
Et l'a bercée dedans son lit
Qui l'a traitée comme une femme
Au moins une fois dans sa vie
Le bois que portait Louise
C'est le Bon Dieu qui le portait
Le froid dont souffrait Louise
C'est le Bon Dieu qui le souffrait
C'n'était qu'un homme des équipes
Du chantier des chemins de fer
À l'heure laissée aux domestiques
Elle le rejoignait près des barrières
Me voudras-tu moi qui sais coudre
Signer mon nom et puis compter,
L'homme à sa taille sur la route
Passait son bras, la promenait
L'amour qui tenait Louise
C'est le Bon Dieu qui le tenait
Le regard bleu sur Louise
C'est le Bon Dieu qui l'éclairait
Ils sont partis vaille que vaille
Mourir quatre ans dans les tranchées.
Et l'on raconte leurs batailles
Dans le salon après le thé
Les lettres qu'attendait Louise
C'est le Bon Dieu qui les portait
La guerre qui séparait Louise
C'est le Bon Dieu qui la voyait
Un soir d'hiver sous la charpente
Dans son lit cage elle a tué
L'amour tout au fond de son ventre
Par une aiguille à tricoter
Si je vous garde Louise en place
C'est en cuisine pas devant moi
Ma fille prie très fort pour que s'efface
Ce que l'curé m'a appris là
Et la honte que cachait Louise
C'est le Bon Dieu qui l'a cachée
Le soldat qu'attendait Louise
C'est le Bon Dieu qui l'a vu tomber
Y a cinquante ans c'était en France
Dans un village de l'Allier
On n'accordait pas d'importance
A une servante sans fiancé
Le deuil qu'a porté Louise
C'est le Bon Dieu qui l'a porté
La vie qu'a travaillé Louise
C'est le Bon Dieu qui l'a aidée
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Je relaie le billet de LADY GALGAVoici une magnifique histoire qui nous vient d'Angleterre: Lily et Madison,des grands danois ont grandi ensemble mais à cause d'une maladie Lilydevint aveugle à 18 mois...
Madison est devenu son chien guide! Ils sont inséparables et si vous croisez Lily,vous ne vous douteriez pas de son état. Sa cécité a fait qu'elle a développéles autres sens, mais surtout Madison n'est jamais bien loin d'elle!
Madison le promène en laisse
Ils sont les meilleurs amis depuis 5 ans
Je vous laisse decouvrir ce duo en photo dans ce lien:
http://www.thesun.co.uk/sol/ho<wbr> mepage/news/3886615/Do-you-hav<wbr>e-a-blind-spot-br-for-pooch-wi<wbr>th-guide-dog.html
Une adoption pas comme les autresLe bémol de l'histoire, depuis juillet, les 2 chiens n'ont plus de familleet sont à l'adoption... difficile de placer 2 gros toutous, mais on espèrede tout coeur que la diffusion de cette belle histoire sur internet va toucherdes personnes et leur permettre de trouver le bonheur ♥ ensemble toujours!
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Je ne sais pourquoi
Mon esprit amer
D’une aile inquiète et folle vole sur la mer.
Tout ce qui m’est cher,
D’une aile d’effroi
Mon amour le couve au ras des flots. Pourquoi, pourquoi ?
Mouette à l’essor mélancolique,
Elle suit la vague, ma pensée,
À tous les vents du ciel balancée,
Et biaisant quand la marée oblique,
Mouette à l’essor mélancolique.
Ivre de soleil
Et de liberté,
Un instinct la guide à travers cette immensité.
La brise d’été
Sur le flot vermeil
Doucement la porte en un tiède demi-sommeil.
Parfois si tristement elle crie
Qu’elle alarme au loin le pilote,
Puis au gré du vent se livre et flotte
Et plonge, et l’aile toute meurtrie
Revole, et puis si tristement crie !
Je ne sais pourquoi
Mon esprit amer
D’une aile inquiète et folle vole sur la mer.
Tout ce qui m’est cher,
D’une aile d’effroi
Mon amour le couve au ras des flots. Pourquoi, pourquoi ?Paul VERLAINE
1844 - 1896
Recueil "Sagesse" 1881
Bonne semaine à tous !
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