• Demain 11 août est organisée une journée de soutien aux animaux martyrs ; journée à laquelle il est demandé aux personnes soutenant les animaux battus, maltraités, victimes du sadisme de l'Homme de porter un ruban de couleur blanche

    Mettez des rubans à vos véhicules, vélo, vêtements, portails etc
    Il faut dire haut et fort que ce n'est pas possible que dans un pays comme le notre il y ait tant d'animaux victimes de l'homme!!!

     

     

     

     

     


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  • La preuve par 15.552 !


     
    Chez les chats 1 + 1 = 6 et cela deux fois par an.
    Un couple de chats peut donner le jour jusqu'à 12 chatons par an (6 couples),
    après deux années : 6 * 12 = 72 chats (36 couples),
    après trois années : 36 * 12 = 432 chats (216 couples), 
    après quatre années : 216 * 12 = 2.592 chats (1296 couples) 
    après cinq années : 1296 * 12 = 15.552 chats ! etc. 

    Si vous hésitez encore, je vous conseille de lire les textes fort bien écrits par Rose des CHATS DU M AQUIS.
    Voici les liens :


    Bonne semaine à tous !

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  • Je relaie l'article de TACHKA

     

    http://galgos-podencos.over-blog.fr/article-2-podencos-perdus-dans-le-60-54461253.html

    Seconde Chance Bonjour,


    Nous avons perdu (dans le 60) 2 petits podencos de 18 mois, rescapés d'une
    fourrière espagnole: 40 cm, 6 kg, la femelle est blanche et rousse, borgne de l'œil droit,
    le mâle roux.
    Ils ont été très maltraités et sont très...traumatisés avec les inconnus.
    Les puces sont espagnoles :
    981098102320788 pour la femelle
    981098102323366 pour le mâle
    Merci de nous prévenir si vous avez des infos et de diffuser
    l'appel à l'aide de notre famille, nous sommes désespèrées !
    Très amicalement,
    Sandrine 06 72 95 78 80

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  •  

      Je fais suivre l'article de TACHKA

    (j'ai supprimé les images insoutenables)

     

    Essayez de lire cet article


     

    Il était une fois, en Espagne : un chiot lévrier podenco

     

              Je suis né dans une cave nauséabonde à l’est de Madrid comme mes frères et sœurs. Ma maman est exploitée pour faire tant de bébés que son lait ne nous nourri pas assez, elle a de l’eau croupie pour boire, elle est épuisée et malade.

     

                  On entend des pas qui s’approchent, maman est terrifiée, elle sait que le GALGUERO vient pour sélectionner certains d’entre nous, il le fait tout le temps. Le GALGUERO est un chasseur qui chasse sans fusil, il laisse le lévrier courir après le lapin, l’attraper, le tuer et le lui ramener. Lui, n’a rien à faire qu’attendre que ses lévriers reviennent avec leur butin entier.

                 Quand des lévriers sont trop faibles pour chasser, le GALGUERO vient pour les prendre et on ne les revoit plus.

              Dès que le GALGUERO a ouvert la porte de la cave, Maman a eu mal aux yeux, elle n’a jamais vu la lumière du soleil, nous vivons au milieu de nos excréments, sans eau, sans nourriture.

             Je pressens qu’un malheur arrive, Maman aussi est terrifiée, elle nous demande de nous cacher et de ne pas avoir peur mais elle a du mal à contrôler la sienne.

                  Le GALGUERO est venu pour Maman, nous, ses fils et filles essayons de la protéger mais l’HOMME nous a repoussés à coups de pieds. Nous sommes trop jeunes, quelques semaines à peine, et ses coups nous font très mal. Nous n’avons pas d’autre choix que de regarder notre maman suivre le GALGUERO vers la lumière avec un fil de fer autour du coup. Maman essaye de résister mais c’est un nœud coulant qui lui brûle la peau. Il la traîne dehors en l’injuriant et en la battant.

             Un silence de mort pèse dans cette cave et, des hurlements de douleur et de terreur viennent briser ce silence des cris terribles et inhumains suivis de ses ricanements à lui.

                                      Aujourd’hui, c’est UN MAUVAIS JOUR.

    Au matin, le GALGUERO va nous entraîner à la chasse, il nous sort de cette cave et une vision d’horreur : MAMAN est devant nous, là, pendue à un arbre, nous avions entendu ces cris de douleur quand l’HOMME l’a brûlée vive, elle réclamait sa pitié pour tous les chiots qu’elle lui a donné.

    Cà sent encore l’essence quand j’approche.

    En passant à côté, l’HOMME lui a craché dessus et lui a dit : demain j’irais chercher une autre chienne qui me fera de meilleurs petits.

    Le GALGUERO nous dresse pour la chasse au lapin, et si par malheur nous ne résistons pas à l’envie de le manger car nous avons très faim, il nous bat jusqu’à ce que nous ne puissions plus ni bouger ni même gémir. Certains d’entre nous on eu la mâchoire cassée pour ne plus pouvoir dévorer un lapin, c’est notre punition quand nous avons trop faim. L’HOMME dit que nous devons être affamés pour être de meilleurs chasseurs mais nous devenons si faibles

                   Le GALGUERO nous a enfermés dans cette cave, rien à boire, rien à manger.

                  Maman, je pleure, j’ai froid, j’ai faim, ton corps a été jeté aux ordures.

            J’ai 1 an, c’est le soir, le GALGUERO entre dans la cave et prend ma sœur, qu’a-t-elle fait pour être battue ???

           Il passe autour de son cou un fil de fer, sort avec elle nous avons tous peur, elle n’a qu’une année de vie, de faim et de souffrances. Trop de souffrances, trop de faim justement, elle n’a toujours pas ses chaleurs et n’est donc pas apte à faire des bébés, une bouche de trop à nourrir inutilement.

               Un silence de mort est rompu par ses cris de douleur, attachée à un arbre, il lui a ouvert le ventre.

              Eux, ils boivent de la bière, ils dansent et chantent. Pour eux, c’est un jour de fête, le meurtre de ma sœur rétablit l’honneur du GALGUERO.

             Moi, j’ai envie d’hurler ma peine, de crier vengeance mais je dois garder mes forces pour survivre.

                         Aujourd’hui est un autre jour de MALHEUR.

     

             J’ai maintenant 2 ans, j’ai vu le GALGUERO torturer, massacrer, brûler beaucoup d’entre nous. Mon frère a mal chassé et l’HOMME l’a battu d’une telle sauvagerie qu’il n’a même plus la force de gémir. Il s’est blotti tout contre moi pour se réchauffer, son corps est si maigre qu’il paraît avoir vieilli plus vite que moi, et je sent son souffle s’affaiblir, il attend cette mort que nous appelons tous. Il tourne la tête vers moi et dans un dernier regard, un dernier soupir me dit au revoir, c’est fini pour lui, il ne bouge plus.

              Je ne veux pas mourir comme çà, ce n’est pas une vie !!!!!!!!

                                 Encore un jour où la mort est au rendez-vous.

     

                J’ai passé toute la nuit à chercher comment partir avant de mourir ici et au matin, quand il nous emmène pour chasser le lapin, j’ai couru, couru et je ne suis jamais revenu, le GALGUERO a tué ma mère, mon frère, ma sœur, trop de mes amis. Je suis parti avant que ce soit mon tour, je suis libre.

             Mais il n’y a personne dehors pour m’aider, je dors à la belle étoile, j’ai du mal à trouver à manger, les villageois me chassent au lieu de me donner de la nourriture, je dois aussi fuir ce village où je suis né.

     

              Je suis si faible maintenant que j’ai de la peine à marcher, j’ai très faim, j’ai très soif – Est-ce cela le prix de la liberté ? Il me donnait un morceau de pain une ou deux fois par semaine, aujourd’hui, je n’ai rien. J’ai trouvé refuge dans une vielle maison, je suis au moins à l’abri mais j’ai faim, si faim.

     

               J’entends des pas venir vers moi, quelqu’un vient me chercher je suis si faible que je n’ai plus la force de fuir. Une main me touche, quand va-t-elle me frapper ???

               J’urine sur moi et je tremble de peur, elle a une voix douce et me prend dans ses bras pour me sortir de mon abri.

               J’ai moins peur, j’aime quand elle passe sa main sur mon corps si maigre, elle appelle ça une caresse ?

                                Je ne connaît pas mais c’est doux.

                Sa voix me rassure, elle dit qu’elle va m’aider, je ne dois plus avoir peur mais je ne peux pas m’empêcher de trembler.

                Je ne connaissait pas la douceur d’une voix, je ne connaissait pas les caresses. C’est si bon…

     

               Mon histoire, elle ne la connaît pas mais elle sait que j’ai été beaucoup maltraité et elle se met à pleurer.

     

               Dehors, les habitants du village sont indifférents à mon sauvetage, pour eux, je ne suis qu’un lévrier podenco qui n’est plus bon pour la chasse et pour cela je ne mérite même plus de vivre.

     

               Cela fait maintenant quelques mois que je suis dans un refuge, je mange mieux, je n’ai plus de coups mais je suis enfermé dans un box, je ne coure plus assez.

     

             Et un jour, les GALGUEROS sont venu me voler, j’ai eu très peur mais pour ne pas recevoir de coups de pieds j’ai obéi, j’ai suivi ces hommes qui sont venu me chercher.

     

                  HORREUR !!!! Ils m’attachent et excitent des chiens sur moi, leurs morsures me font très mal, j’essaie de me défendre mais leurs crocs me déchirent la peau.

                   Je m’enfuit au bout de deux jours de combats acharnés et je coure vers le refuge où je me sentait si bien, je ne mangeais pas à ma faim mais je n’étais pas battu. ELLE, ELLE m’aime, ELLE est douce, ELLE est gentille. Elle m’accueille et soigne mes blessures, elle me cache pour que les GALGUEROS ne reviennent pas me chercher. IL FAUT ME SAUVER, VITE !!!!!

     

    Une voiture arrive, je ne les vois pas mais je les entends parler de moi. La bénévole du refuge vient me chercher, j’ai peur, elle m’emmène où ??

    Elle me confie à une bénévole de l’EUROPE DES LEVRIERS : une famille d’accueil m’attends dans un pays où on aime les lévriers espagnols – LA FRANCE.

    Elle me dit que là-bas, je serais EN SECURITE.

    Dans la voiture, elle m’installe à l’arrière c’est mou !!! je suis habitué à la dureté du ciment.

    La bénévole du refuge ne vient pas elle m’a dit qu’elle devait s’occuper d’autres lévriers qui arrivent, elle pleure et me caresse une dernière fois.

    La voiture s’éloigne, je la regarde et je pleure aussi.

    La nouvelle dame me parle doucement, je lui fait confiance, j’ai moins peur. J’aime regarder par les fenêtres ce paysage qui défile sous mes yeux.

    Il est si loin le pays de la liberté !!!!

     

                     C’est le soir, elle entre dans une maison mais j’attends dehors, elle me demande d’entrer c’est chez elle. Je ne suis jamais entré dans une maison, c’est interdit, c’est réservé aux animaux de compagnie. Moi, je suis un lévrier de chasse je ne dois pas entrer avec les humains.

                      Elle me tire à l’intérieur avec une laisse et un collier qui ne fait pas mal, plus de fil de fer. A l’intérieur, c’est propre et çà sent bon. Je suis mal à l’aise, j’ai peur d’être battu, je n’ai rien à faire dans une maison, je ne sais pas où aller, il n’y a pas de ciment pour dormir.

     

     

    Elle me fait monter sur le canapé, je ne connaissais pas, c’est confortable mais très mou. Où est le ciment ?

            Elle me donne à manger des croquettes, c’est si bon et j’ai faim alors, je dévore. Moi qui n’ai connu que le pain sec  : j’ai tout vomi !

     

     

    Je me cache, Elle va me frapper ! J’ai peur !!!!

    Elle nettoie et me caresse. SANS ME FRAPPER !!!!! Sa voix douce me rassure, elle me dit de manger doucement, il y en aura encore et tous les jours. C’est çà le paradis ???

                     J’ai maintenant 2 ans et demi, je ne connais plus ni la faim, ni la soif, ni les coups, ni l’enfermement sans la lumière du soleil.

    J’ai mis un mois pour apprendre à jouer avec une balle, quel plaisir.

     

     

    Voilà, je suis arrivé il y a 5 mois chez mes adoptants, j’ai un grand jardin où je fais des trous (mon maître n’est pas très content, il rebouche !) ; mon lit est souvent changé, ma couverture remplacée et lavée mais moi, je préfère quand ça sent mon odeur ! C’est à moi !!!!!

      Je suis promené en laisse, je rencontre d’autres chiens, d’autres humains gentils. Je suis fier d’être un grand lévrier podenco.

                     Et puis des chatons sont aussi arrivés, j’ai envie de leur courir après mais ma maîtresse me l’interdit alors j’obéis. Je commence à aboyer après des passants, j’aime les enfants, JE SUIS HEUREUX .

                     Mais le soir, je rêve de MAMAN, de mon frère, de ma sœur, je sens encore cette odeur nauséabonde de la cave. Je ne pleure plus mais je sais que le GALGUERO continue ses horreurs et j’en tremble encore. 

    Je dis MERCI            

    Aux bénévoles du refuge
    Aux bénévoles de l’association : L'EUROPE DES LEVRIERS
    A ma famille d’accueil
    A ma famille adoptive
    A vous tous, MES SAUVEURS sans qui je serais mort aujourd’hui

    ROCKY

     

    L'EUROPE DES LEVRIERS

    http://www.adopter-levrier.com/


     

     


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  • Oui, j'accuse la justice de forfaiture.

    Le bourreau de TAMARA a été condamné par le tribunal d'instance de Sarrebourg à 400€ d'amende avec sursis...

    Je relaie l'article de Crocodile.

    La Boîte de Pandore

    pandore.JPGJe ne sais pas si tu es comme moi, mais, chaque fois que j'apprends un de ces faits divers sordides dans lequel un humain a torturé un (son ?) animal, je me demande pourquoi la loi n'est pas appliquée.

    Car, après tout, les lois qui punissent cette violence existent, il suffirait de les utiliser. Pourquoi sommes-nous tellement laxistes alors que nous disposons d'un arsenal juridique suffisant pour punir les brutes ?


    J'y ai réfléchi plus d'une fois et je me dis qu'il est tout bonnement impossible que TOUS nos juges soient insensibles à cette barbarie et qu'il y a fort à parier qu'un jugement sévère déclencherait plus de félicitations que de reproches s'il était prononcé envers les tortionnaires de Mambo, aspergé d'essence  et brûlé vif par ennui, envers le propriétaire du dalmatien qui l'a trainé sur des kilomètres après l'avoir attaché à sa voiture, envers les barbares qui ont voulu brûler Evoli, siamois trop sociable et confiant, envers les deux brutes qui ont tabassé un pappy york de 13 ans dans un hall d'immeuble, envers les agents de sécurité d'un supermarché qui se distrayaient en torturant des chats...


    Alors quoi ? Comment est-il possible que le propriétaire de Tamara, croisé rott-berger allemand, lui ait ligotté les pattes, baillonnée en entourant sa gueule d'adhésif, jetée dans un sac poubelle puis balancée dans un étang où elle est morte noyée puisse écoper d'une amende de 400 euros "avec sursis" au prétexte que, comme l'explique le procureur,  «Il ne ressort de ce dossier aucune volonté de faire souffrir l’animal ». Il s'agit donc d'une infraction et non d'un délit. Une infraction ? L'ordure qui a exécuté Tamara prétend qu'il n'avait plus les moyens de l'entretenir. Ah bon ! Alors s'il n'y a pris aucun plaisir, c'est moins grave n'est-ce pas ?

     

    J'ai beau tourner le problème dans tous les sens, j'en arrive toujours à une conclusion qui me fait froid dans le dos : nous ne punissons pas parce que nous ne voulons pas ouvrir la boite de Pandore.

    Je m'explique ? OK, je m'explique. Actuellement, l'animal à le statut d'être sensible (ce qui, tu en conviendras, n'est pas très explicite), mais, si on commençait à lui donner un statut équivalent au notre, en clair, si on estimait enfin que la vie d'un colibri n'est pas moins importante que la vie d'un homme, du moins à ses propres yeux, si on admettait une fois pour toute que l'importance que l'on attribue à telle ou telle existence est purement arbitraire et guidée soit par un sentiment de supériorité totalement injustifié, soit par la valeur affective que nous lui attribuons ? Qu'arriverait-il ?

    Au fond, dans l'absolu, lequel d'entre nous estime que la vie d'un tortionnaire est plus importante que celle de sa victime ? En toute honnêteté, de Tamara ou de son propriétaire, auprès duquel aurais-tu préféré vivre ? 

     

    Mettre le restant des animaux sur un plan d'égalité de droits, c'est remettre en question toute notre façon de penser, toute notre culture, tout notre rapport au monde. Si leur vie, leur souffle, leur existence, à la même valeur que celle de n'importe quel animal-humain, comment alors supporter la chasse ? La pêche ? Les abattoirs ? La corrida ? Les zoos ? Etc... 

     

    Alors, tant pis pour Tamara, Mambo, Evoli et les millions de victimes anonymes, nous continuerons longtemps à les torturer et à les tuer, pas seulement parce que nous en avons le pouvoir mais parce que nous ne voulons surtout pas nous remettre en question. Je me demande si c'est vraiment une preuve de notre "supériorité" ?

     

    "Les français ont déjà réalisé que la peau foncée n'est pas une raison pour abandonner sans recours un être humain aux caprices d'un persécuteur. Peut-être finira-t-on un jour par s'apercevoir que le nombre de jambes, la pilosité de la peau ou l'extrêmité de l'os sacrum sont des raisons tout aussi insuffisantes d'abandonner une créature sensible au même sort." 
    Jeremy BENTHAM (1748-1832)



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