• Elle n'a que quelques mois...Elle a été abandonnée...Elle vit dans la rue (près de Villeneuve d'Ascq)...


    chatmourette.jpg

    photo prise par Alexandra qui la nourrit actuellement, malheureusement elle ne peut pas la garder chez elle

     

    ELLE EST TERRORISEE...

     

    VOUS POUVEZ L'ACCUEILLIR TEMPORAIREMENT, CETTE PETITE MERVEILLE, VOUS AVEZ CRAQUÉ ET VOUS SOUHAITEZ L'ADOPTER...

     

    CONTACTEZ MOI VITE, ELLE EST EN GRAND DANGER CETTE CHAT'MOURETTE


     

     

     


     


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  • Je relaie le billet de  Croco

     

    Je suis un jeune chat noir, tendre, calme, je n'ai jamais éprouvé de colère ou de hargne. J'ai vécu parmi les humains, j'avais une famille que j'aimais et en qui j'avais confiance... Je viens de mourir.

    Il y a quelques semaines, ma famille, cette famille qui m'avait choisi, a commencé à mettre le bazar dans la maison : ils sortaient des valises, déplaçaient des piles de vêtements, des objets de toute sorte qu'ils n'utilisent pas habituellement, ça les rendait heureux. Moi, j'étais un peu inquiet car nous, les chats, nous n'aimons pas trop les changements, mais puisqu'ils étaient contents, moi aussi finalement même s'ils ne faisaient pas trop attention à moi.

    Ils ont tout chargé dans la voiture et m'ont pris avec eux. On a roulé quelques temps puis, à un moment, ils ont arrêté la voiture, ont ouvert la portière et m'ont fait descendre. Je ne comprenais pas très bien pourquoi mais, comme je ne comprend pas toujours bien les humains, je me suis assis sur le trottoir, sagement. Ils ont refermé les portières puis... ils sont partis.

    J'ai attendu, qu'est-ce que j'aurais pu faire d'autre, je ne connaissais pas du tout ce territoire et j'ignorais comment faire pour retrouver ma maison.

    Au début, j'ai flanné un peu, reniflé toutes les odeurs des matous inconnus. La nuit est tombée, j'avais faim, j'ai décidé de me bouger un peu, de chercher de quoi manger puis le chemin de ma maison. Je n'ai trouvé ni l'un ni l'autre.

    Les jours qui ont suivi, c'était de pire en pire, j'étais totalement perdu et affamé comme je n'imaginais même pas qu'on puisse l'être. Je cherchais le contact avec les humains, n'importe quel humain qui puisse m'aider à retrouver ma famille, qui me vienne en aide.

    Un soir, à bout de force, j'ai traversé une rue inconnue de plus, quand j'ai entendu le crissement des pneus, il était déjà trop tard et j'étais trop faible pour fuir. Le choc a été violent. Au début, j'étais sonné, j'avais mal partout et surtout aux pattes, je me suis relevé aussi vite que possible et j'ai filé sur le trottoir. La voiture à redémarré.Mes pattes me faisaient atrocement mal, je saignais. Je suis pourtant parvenu à me remettre debout.

    Les jours qui ont suivi n'ont été que douleur de plus en plus intense. Les mouches, que je m'étais si souvent amusé à chasser, ont commencé à m'attaquer, elles étaient de plus en plus nombreuses à se poser sur mes plaies, j'avais beau lécher pour nettoyer, mes pattes étaient de pire en pire, de plus en plus douloureuses, de plus en plus sales.

    Pendant des jours, j'utilisais le peu de force qui me restait pour aller vers les humains, ils étaient les seuls à pouvoir me secourir mais aucun d'entre eux ne se penchait sur moi. Cet après-midi, une voiture s'est arrêtée le long du trottoir ou j'attendais, désespéré.

    Une jeune femme en est descendue, elle m'a appelée, je me suis approché de mon mieux. Quand elle m'a vu de près, elle a commencé à pleurer. Elle me caressait le crane et me parlait gentiment puis elle a pris son téléphone et elle à appelé quelqu'un qu'elle nommait "Croco". Je suis resté près d'elle, je n'avais de toute manière plus la force d'aller nulle part.

    Croco a finit par arriver, quand elle m'a vu, elle m'a enroulé dans une serviette, elle m'a parlé gentiment et elle me caressait la tête. Elles m'ont emmené dans la voiture puis chez un homme qui a regardé mes pattes et a dit : "il n'y a plus rien à faire". Il a parlé de gangrène, d'infection, de douleur insupportable.

    Croco et la jeune femme m'ont dit "Nous sommes là, nous allons rester près de toi et faire cesser tes souffrances". L'homme m'a fait une piqure, Croco me tenait et me caressait, elle avait une main sur mon coeur qui battait à tout rompre et une main qui tenait ma tête. J'ai bien senti que mon coeur ralentissait, j'avais peur de m'endormir, peur de ce qui allait arriver si je m'endormais.
    L'homme a dit : "je ne comprend pas, il devrait dormir, je lui ai injecté la dose d'un rottweiller", puis il a ajouté, tristement : "les gens qui l'ont renversé et l'ont laissé ainsi sont des criminels".

    L'homme a ensuite rempli une autre seringue et m'a fait une seconde injection, Croco a murmuré "Lâches-prise, tu peux partir".

    Alors, je suis parti...

    Petiot, dont j'ignorerai toujours le nom, dont je m'aperçois même que j'ignore si tu étais mâle ou femelle, s'il y a un après, cet autre lieu où je t'ai fait partir, quand tu y seras arrivé, s'il te plait, plaides pour moi, plaides pour qu'on m'y fasse une place quand mon heure sera venue, car je ne veux pas risquer de partager mon éternité avec ceux qui t'ont condamné.


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  • ISA

    Je relaie le billet de LN

     
    Vous êtes quelques uns à trouver que les formulaires d'adoption sont sévères en termes de critères pour pouvoir adopter un galgo: disponibilité en temps, hauteurs de clotures, conseils de prudence sont les priorités sur lesquelles nous nous attardons le plus.
    Certains iront jusqu'à dire " vous considérez qu'il vaut mieux le laisser croupir dans son refuge plutot que de le confier à une famille?" 
    Les galgos sont des lévriers qui ont beaucoup souffert, certains garderont malgré tout confiance en eux-mêmes et en les hommes, d'autres ..... mettront des semaines, des mois, des années avant de vraiment admettre qu'ils ne soient plus en danger. Difficile pour nous de vous dire à l'avance comment se comportera ce galgo une fois chez vous et notre seul moyen pour protéger l'avenir de ce galgo c'est précisément de bien vous informer au départ et de faire preuve de vigilance sur nos questionnaires.

    C'est l'histoire de Isa, c'est l'histoire qui pourrait être celle du galgo de votre choix. Alors je vous pose la question : êtes-vous sûr de pouvoir tenir plusieurs mois avec un galgo que vous ne pouvez pas approcher, qui toute la journée va garder le train arrière affaissé et la queue entre les pattes, qui vous regardera avec terreur sitôt que son regard croisera le votre et encore ..... si toutefois il s'autorise à vous regarder dans les yeux.
    C'est l'histoire d'Isa mais c'est également celle de sa famille d'accueil en Espagne et ça pourrait être la vôtre également mais peut-être pas avec le même final .... la famille d'accueil a gardé Isa, ils ont décidé de l'adopter et ils ont bien fait ..... auriez-vous fait ce choix?
    Beaucoup d'adoptants baissent les bras des le premier mois, êtes-vous sûrs d'être de ceux qui laisseraient à un galgo, celui pour lequel vous vous seriez engagé,  tout le temps nécessaire à sa reconstruction?

     
     
     
    L'histoire de Isa
    notre hommage aux chiens craintifs
     
    Isa a été abandonnée a Azuaga-Badajoz alors qu'elle etait encore un chiot.
    Dans sa courte vie elle n'avait probablement connu que l'obscurité, la misère et la maltraitance de son maître. Quand elle fut abandonnée, elle n'avait déjà plus confiance en l'homme.
    Elle vivait dans les ruines d'un chateau, loin des hommes qui déjà lui avaient fait tant de mal. Il n'y avait qu'une seule personne qui lui déposait de la nourriture et de l'eau à un moment où elle n'aurait jamais pu subvenir à ses besoins par elle-même. Pendant UN AN ET DEMIE, cette personne lui portera chaque jour à manger sans JAMAIS arriver à l'approcher, elle qui désirait tant la sauver ...
    Une nuit d'orage, elle se laissera attrapper par sa sauveuse.
    Et peu de temps après, elle arriva dans sa famille d'accueil dont l'onjectif était de tenter de lui enlever cette peur panique qu'elle avait des humains et ce pour pouvoir enfin, une fois sociabilisée, lui trouver une famille pour toujours.
    Nous n'avions jamais vu jusque là autant de terreur chez un pauvre animal et après avoir travaillé PLUSIEURS MOIS avec elle, la tâche paraissait impossible: ce sont les propres paroles de la famille.
    DES MOIS APRES .....
    Regardez la vidéo, regardez DES MOIS APRES son sauvetage qui a duré UN AN ET DEMIE, regardez ...... la peur, se savoir dans un endroit clos face à un humain, tourner en rond en cherchant du regard  l'issue qui lui permettra de s'éloigner de cet humain dont DES MOIS APRES elle ne comprend toujours pas les intentions réelles.
    Regardez, dans sa propre maison, ce train arrière affaissé avec la queue encore et toujours entre les pattes, l'image de la peur logée dans les reins! Même la promiscuité d'autres galgos totalement sociabilisés ne lui redonne pas confiance.
    Au bout de six mois et sans aucun résultat probant, sa famille d'accueil décidera qu'elle restera avec eux pour toujours car jamais elle ne pourrait être cédée à l'adoption et ici, qui sait, au moins, pourrait-elle trouver sa place et être heureuse à sa manière.
    Isa était toute de peur panique mais douce comme le miel ...
    Qui sait si ce jour là elle a compris qu'elle avait trouvé sa place pour la vie ...
    Qui sait si pour finir elle avait appris à aimer et être aimée ...
    Peu à peu Isa deviendra plus sereine, plus calme et maître de sa maison, Isa apprendra à partager son bonheur et accepter celui des autres.
    Mais qui sait .... peut-être ce miracle était écrit dans son destin.
    Mais ce qui est sûr, c'est que quelque chose s'est passé au jour de la décision de cette famille de la garder POUR LA VIE.
    UN AN ET DEMIE pour être sauvée
    DES MOIS pour lui apprendre que les reins ne sont pas le territoire uniquement des coups et de la peur.
    Regardez, regardez-là et posez-vous la question : aurais-je pu avoir autant d'amour et de patience?
     
    Contre l'inculture et l'abandon....
    Amour
    Contre la misère ....
    La Dignité
     
    Les dernières images de Isa arrivant en courant sur le sifflement de son maître sont magnifiques .... vous qui avez abandonné une deuxième fois un galgo par manque de patience et d'amour ..... regardez en face ces images, elles vous montrent un bonheur que vous n'aurez jamais connu.
    Une rose s'est éclose dans un coeur meurtri et, vous qui avez abandonné votre engagement si facilement, de cette rose là vous n'en aurez eu que les épines...

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  • Je relaie l'article de Thierry

     

    55   000   000   000

    55 milliards d'animaux sont tués chaque année dans le monde !

    - 1 750 par seconde ! (sans compter la pêche) Source FAO -

     

    Se pourrait-il que l'ambiance de la Terre soit affectée par les peurs, les souffrances, les morts de ces innombrables victimes ?

    Se pourrait-il que la violence et les guerres soient induites par la consommation de chair fortement marquée de ces violences subies ?

    Se pourrait-il qu'une Terre végétalienne soit une Terre de paix, d'harmonie, d'entente entre les peuples, et d'abondance ?

     

    "1750 par seconde, c'est ce que je retiens ...
    en fait la terre est rouge de sang, de souffrances, de peurs, de tortures subies ...
    La terre n'est pas bleue ..."

     

    Commentaire posté par Mon Petit Soleil Bleu sur le blog de THIERRY

     


    8 commentaires
  •   Je relaie l'article de UNANIMUS

    Cliquez ici !  

    http://actuanimaux.com/lewis-2/

    LEWIS EST SUR ACTUANIMAUX !! Il tient compagnie à notre Roméo. Cliquez fort sur notre site ami  ci-dessus pour l'aider lui aussi !!

    Et soutenez Galgos Ethique Europe par des dons en sa faveur. 

    Lewis seul survivant d'une portée,  galguito blessé  était livré  à lui-même et  destiné à mourir.  Dans la rue comme d'autres subissant  la faim, la peur, le froid ou la chaleur, la maltraitance,  caillassage des enfants  et  adultes, insultes.  En  proie aux  maladies et aux  accidents de la route  provoqués ou  non  car un galgo vaut exactement : RIEN. Pour les autorités espagnoles, la réponse à ce drame est : "no problemo" !!

    Dans les mentalités des siècles passés qui perdurent, ce n'est pas un chien. Pas un animal de compagnie. C'est un outil. Un esclave. Un paria. Un moins que rien.  Et pourtant, ce sont des lévriers doux, merveilleux compagnons  attachants venus de l'Antiquité égypienne où ils étaient vénérés. 

    Par chance, Lewis a  été sauvé par les âmes dévouées de la protection animale espagnole et âgé de quelques mois à peine, il avait déjà une fracture de la hanche et une plaie béante à la cuisse...

    De nombreuses interventions vétérinaires sont  nécessaires  pour  donner à ce pauvre toutou  soins,  dignité et confiance en l'humain, de manière à  le rendre adoptable dans une autre vie. 

    Une vie d'amour inespérée. La vôtre peut-être ?

    Merci beaucoup de votre participation et bien amicalement, Unanimât  

    Pour toute information, agir et connaître la réalité espagnole des chiens de chasse, galgos pendacos  croisés et autres,

    Visitez le site et contactez :

    GALGOS ETHIQUE EUROPE
    7, rue Tour de Ville
    11120 Bize Minervois
    Tel. : 09 64 28 11 23

    Site Internet : www.galgos-ethique-europe.eu    

    Et blogs : http://galgos-ethique-europe.over-blog.org/ 

    http://agir-pour-les-galgos.over-blog.com/

           

    Ames sensibles, le "no problemo" de l'Espagne c'est ça :

     Sauver des animaux, notre engagement au quotidien  

    A l'ombre des oliviers dont vous allez peut-être manger les fruits...

     

     

     

     

    Cela n'est pas sans nous rappeler le poème "Strange Fruit" chanté par l'immortelle Billie Holliday. Les fruits étranges pendus étaient les parias de l'Amérique sans droits civiques. Ce n'étaient que des hommes noirs de peau... Les chasseurs étaient blancs.
    Les arbres du Sud portent un étrange fruit,
    Du sang sur les feuilles et du sang aux racines,
    Un corps noir qui se balance dans la brise du Sud,
    Étrange fruit suspendu aux peupliers...



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